jeudi 28 août 2008

Debian 4 et les fichiers vidéos

J'ai souvent constaté que le problème principal avec Linux se situait au niveau de la lecture des fichiers vidéos.

Le media player pour l'environnement Gnome est Totem. Le premier test que j'ai effectué concernait la lecture d'un DVD et comme je le craignais, j'avais l'image mais pas le son. Si le cinéma muet avait son charme (qui n'a jamais vu au moins un des films de Charlie Chaplin ?), il vaut quand même mieux avoir le son quand on veut regarder un concert de Metallica !

Avec Ubuntu, j'avais eu beaucoup de problèmes pour corriger le problème car je n'étais probablement pas tombé sur les bonnes infos. Par contre, avec Debian, j'ai eu beaucoup plus de chance.

En fait, il suffisait de démarrer un terminal en mode root (root terminal en anglais) et d'exécuter la commande 'alsaconf'. Cette commande va identifier la carte son et installer les drivers pour celle-ci.

Après cette manipulation, j'ai refait un test avec mon DVD. Cette fois-ci, le son était présent. Depuis lors, j'ai pu lire sans le moindre problème des fichiers mpeg et avi. Seul les fichiers wmv ne sont pas lisibles, mais cela n'est pas trop problématique puisque je peux également booter mon PC avec Vista. Il faudra que j'essaie de convertir un fichier wmv vers mpeg ou avi pour voir si cela solutionne mon problème. Sinon, il ne me restera plus qu'à installer VLC.

Tout ce qui a été décrit ici a été testé sur mon portable Fujitsu dont je vous ai parlé il y a quelques temps.

A bientôt et bonsoir chez vous !

mercredi 27 août 2008

CEPULB

Le 6 juillet dernier, je vous avais expliqué que je souhaitais participer à certaines activités du CEPULB (possibilité de suivre certains cours universitaires). A l'époque, je ne savais pas si il fallait avoir un âge minimum pour pouvoir s'inscrire et je leur avais envoyé un mail afin de savoir ce qu'il en était.

Comme un de mes collègues me le faisait remarqué ce matin (merci Marc), je vous avais promis de vous tenir au courant dès que j'aurais reçu la réponse du Centre d'Education Permanente de l'ULB. Je dois vous avouer que j'avais oublié ma promesse.

C'est donc avec quelques semaines de retard que je vous communique leur réponse : il n'y a pas d'âge minimum !

Malheureusement, les contraintes d'un travail à temps plein et l'obligation de préparer 1 (ou 2) examen(s) afin d'obtenir une promotion vont me priver de ce qui me tenait tant à coeur. En effet, le premier examen aura lieu début octobre et le second, si je réussis le premier, aura lieu au mois de janvier. Par conséquent, dans le meilleur des cas, cela fait encore plusieurs mois de travail après les heures de bureau. Il était donc inutile de m'inscrire.

Tant pis, la vie est ainsi faite de frustrations et de quelques rares moments de grand bonheur; un peu comme le temps en Belgique : beaucoup de nuages et peu de soleil !

A bientôt et bonne nuit chez vous !

lundi 25 août 2008

Commentaires sur l'installation de Debian 4.0 (Etch)

Maintenant que l'installation de Debian 4 est terminée, il est temps de faire un résumé de mes impressions à propos de celle-ci.

Avant de commencer, quelques mots à propos de la machine sur laquelle j'ai fait l'installation : il s'agit d'un portable Fujitsu Amilo PI 1536 avec 1Gb de mémoire et un dual boot (Vista Home Edition et Debian).

L'installation s'est faite à partir d'un DVD qui était fourni avec le numéro de juillet 2007 de la revue Linux+. Je n'ai que 2 partitions : celle de Debian et celle du swap file. Je sais qu'il est fortement conseillé d'isoler les données personnelles de la partie système mais par paresse j'ai conservé ce qui avait été défini lors de l'installation d'Ubuntu 7.10. A l'époque, je n'avais pas eu le choix. La taille du swap file est également inférieur à ce qu'il devrait être mais mon expérience personnelle m'a prouvé que l'on pouvait travailler avec un swap file plus petit que ce qui est conseillé généralement. Dans mon cas, il fait 690 Mb au lieu d'1 Gb.

L'installation proprement dite s'est très bien passée. Par rapport à celle d'Ubuntu 7.10, j'ai apprécié de pouvoir choisir directement un mot de passe pour l'administrateur (root) et un autre pour mon compte personnel. Ceci n'était pas possible avec Ubuntu 7.10. Pour cette distribution, il fallait attendre que la machine ait rebooté à la fin de l'installation pour pouvoir modifier le mot de passe du root. De plus, si ce mot de passe était différent de celui du compte utilisateur, certaines applications ne fonctionnait plus ou seulement en partie (p. ex. : Update Manager). Ce problème ne se pose pas avec Etch.

Le programme d'installation n'installe qu'un nombre limité de packages. Ceci permet de réduire la durée de son exécution. L'utilisateur peut, par la suite, installer les applications dont il pourrait avoir besoin. Pour ma part, je n'ai installé jusqu'à présent que 3 applications supplémentaires : Tellico (pour gérer ma collection de CDs et de livres), Amarok (pour gérer tout ce qui est audio) et un programme pour la synchronisation de l'heure via internet. Le seul problème provient du fait que, chaque fois que je veux installer un nouveau package, l'application Synaptic me demande d'insérer le DVD d'installation ce que je trouve particulièrement fastidieux !

La suite au prochain numéro et bonsoir chez vous !

dimanche 24 août 2008

Problèmes lors de la migration vers Ubuntu 8.04 LTS

Bonjour,

En cette fin de semaine, j'ai essayé de migrer mon portable vers la dernière version d'Ubuntu (8.04 LTS). Il faut savoir que j'ai installé un dual boot sur mon portable (Ubuntu 7.10 et Vista) lorsque je l'ai acheté à la fin de l'année passée.

A l'époque, Ubuntu était la seule distribution Linux que j'étais arriver à faire cohabiter avec Vista. Mes tentatives avec Debian et PCLinuxOS s'étaient soldées par un échec.

Etant donné que la version 7.10 m'offrait la possibilité de migrer vers la nouvelle version, je m'étais dit que cela m'éviterait de devoir réinstaller les packages qui n'étaient pas installer par défaut et que je ne devrais pas restaurer toutes mes données sur le disque dur après cette migration.

Malheureusement, cette migration s'est avérée désastreuse et je ne puis que me féliciter d'avoir pris un backup de toutes mes données avant de commencer. Les problèmes ont commencé lors du démarrage du process "localdef" qui est parti en boucle et que je n'ai pas pu canceler définitivement. Finalement, j'ai dû me résoudre à éteindre ma machine de la manière la plus brutale qui soit.

Après l'avoir rallumée, j'ai essayée les différentes solutions proposées dans les forums Ubuntu (forum.ubuntu-fr.org et ubuntuforums.org) mais sans succès.

Finalement, j'ai abandonné car je n'étais pas entièrement satisfait d'Ubuntu et j'ai fait une nouvelle tentative d'installation de Debian 4. Cette fois-ci, tout s'est bien passé et les petits problèmes que je rencontrais avec Ubuntu n'existent pas dans Debian Etch (autre nom pour Debian 4).

Moralité de cette histoire :
  1. Toujours prendre un backup de ses propres données avant de commencer une migration vers un autre release.
  2. Toujours consulter les forums avant de commencer afin de voir quels sont les problèmes auxquels on pourrait être confronté. Ceci pourrait amener à postposer une migration afin de réduire les risques inutiles.
  3. Ne changer de release que lorsque c'est vraiment nécessaire : fin de support par exemple.
A bientôt et bon après-midi chez vous !

mardi 5 août 2008

Andreï Kourkov, Le dernier amour du président

J'ai achevé aujourd'hui la lecture d'un des romans de l'auteur russe A. Kourkov. Son titre : "Le dernier amour du président". Ce que j'apprécie beaucoup chez cet auteur, c'est le rythme de ses romans qui est dû principalement au fait que les chapitres sont très courts (quelques pages maximum) et qu'il n'y a pas de longues descriptions qui émaillent le texte.

Dans "Le dernier amour du président", le récit est encore plus dynamique que dans les 2 autres romans que j'ai lu de cet auteur ("Le Pingouin" et "Les pingouins n'ont jamais froids"). En effet, le récit se passe en parallèle à 3 moments de l'existence du héros.

Dans ces 3 romans, l'histoire sert de prétexte pour décrire les "us et coutumes" dans la Russie et l'Ukraine d'aujourd'hui.

Pour terminer, j'ajouterai que de ces 3 romans c'est "Le Pingouin" qui m'a fait passer les meilleurs moments. Un trésor du surréalisme : faire cohabiter un pingouin avec un être humain dans un appartement, il fallait y penser !

A bientôt et bonsoir chez vous !